Pour être tout à fait honnête, je devrais dire que j'éprouve (1) ... certain plaisir à ces soirées organisées (2) ... l'ambassade. Mettre une robe nouvelle, voir des gens dont nous ne lisons jamais les articles ou dont nous serions en peine de savoir de quelle célébrité ils sont amis ou parents, voir d'autres gens faire (3) ... grands efforts pour les rencontrer, boire des cocktails, entendre parler (4) ... derniers pièces ou films à la mode, tout ne m'est pas désagréable.

Pour être tout à fait honnête, je devrais dire que j'éprouve (1) ... certain plaisir à ces soirées organisées (2) ... l'ambassade. Mettre une robe nouvelle, voir des gens dont nous ne lisons jamais les articles ou dont nous serions en peine de savoir de quelle célébrité ils sont amis ou parents, voir d'autres gens faire (3) ... grands efforts pour les rencontrer, boire des cocktails, entendre parler (4) ... derniers pièces ou films à la mode, tout ne m'est pas désagréable.

Pour être tout à fait honnête, je devrais dire que j'éprouve (1) ... certain plaisir à ces soirées organisées (2) ... l'ambassade. Mettre une robe nouvelle, voir des gens dont nous ne lisons jamais les articles ou dont nous serions en peine de savoir de quelle célébrité ils sont amis ou parents, voir d'autres gens faire (3) ... grands efforts pour les rencontrer, boire des cocktails, entendre parler (4) ... derniers pièces ou films à la mode, tout ne m'est pas désagréable.

Pour être tout à fait honnête, je devrais dire que j'éprouve (1) ... certain plaisir à ces soirées organisées (2) ... l'ambassade. Mettre une robe nouvelle, voir des gens dont nous ne lisons jamais les articles ou dont nous serions en peine de savoir de quelle célébrité ils sont amis ou parents, voir d'autres gens faire (3) ... grands efforts pour les rencontrer, boire des cocktails, entendre parler (4) ... derniers pièces ou films à la mode, tout ne m'est pas désagréable.

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Tout à coup mon père me parut inquiet, il me sembla fort pâle, il dit à ma mère : «Cet homme ressemble à mon frère jules. Si je ne le savais pas en bonne position, en Amérique, je (1) ... (croire) que c'est lui. Va le voir, Clarisse». Ma mère se leva, elle revint quelques minutes après, et je m'aperçus qu'elle (2) ... (trembler)  : «C'est lui. Va demander des renseignements au capitaine. Surtout, (3) ... (être) prudent». Mon père s'éloigna, je le (4) ... (suivre). Le capitaine (5) ... (se promener) sur la passerelle. Mon père lui demanda : «Savez-vous quelques détails sur cet écailleur d'huîtres» ? «C'est un vieux vagabond français que je (j') (6) ... (trouver) en Amérique l'an dernier».

Cela se passa quelques semaines (1) ..., la Libération. Le vieux avait beaucoup (2) ... . Il parlait de moins en moins. Il ne sortait guère de sa maison ou de son jardin. On le voyait souvent travailler la terre avec des gestes tremblants. Il s'asseyait aussi quelquefois dans la vallée (3) ... sa pipe. Sa tête était devenue plus maigre encore et disparaissait sous son béret de montagnard. Les gens disaient : «Il lui reste peu de temps à vivre». Je lui donnais de temps en temps du tabac car il en était (4) ... . Il avait fumé un peu de tout : des feuilles de châtaignier, du tilleul. Il (5) ... quand même aux événements et je répondais aux questions qu'il me posait.

Cela se passa quelques semaines (1) ..., la Libération. Le vieux avait beaucoup (2) ... . Il parlait de moins en moins. Il ne sortait guère de sa maison ou de son jardin. On le voyait souvent travailler la terre avec des gestes tremblants. Il s'asseyait aussi quelquefois dans la vallée (3) ... sa pipe. Sa tête était devenue plus maigre encore et disparaissait sous son béret de montagnard. Les gens disaient : «Il lui reste peu de temps à vivre». Je lui donnais de temps en temps du tabac car il en était (4) ... . Il avait fumé un peu de tout : des feuilles de châtaignier, du tilleul. Il (5) ... quand même aux événements et je répondais aux questions qu'il me posait.

Cela se passa quelques semaines (1) ..., la Libération. Le vieux avait beaucoup (2) ... . Il parlait de moins en moins. Il ne sortait guère de sa maison ou de son jardin. On le voyait souvent travailler la terre avec des gestes tremblants. Il s'asseyait aussi quelquefois dans la vallée (3) ... sa pipe. Sa tête était devenue plus maigre encore et disparaissait sous son béret de montagnard. Les gens disaient : «Il lui reste peu de temps à vivre». Je lui donnais de temps en temps du tabac car il en était (4) ... . Il avait fumé un peu de tout : des feuilles de châtaignier, du tilleul. Il (5) ... quand même aux événements et je répondais aux questions qu'il me posait.

Cela se passa quelques semaines (1) ..., la Libération. Le vieux avait beaucoup (2) ... . Il parlait de moins en moins. Il ne sortait guère de sa maison ou de son jardin. On le voyait souvent travailler la terre avec des gestes tremblants. Il s'asseyait aussi quelquefois dans la vallée (3) ... sa pipe. Sa tête était devenue plus maigre encore et disparaissait sous son béret de montagnard. Les gens disaient : «Il lui reste peu de temps à vivre». Je lui donnais de temps en temps du tabac car il en était (4) ... . Il avait fumé un peu de tout : des feuilles de châtaignier, du tilleul. Il (5) ... quand même aux événements et je répondais aux questions qu'il me posait.

Cela se passa quelques semaines (1) ..., la Libération. Le vieux avait beaucoup (2) ... . Il parlait de moins en moins. Il ne sortait guère de sa maison ou de son jardin. On le voyait souvent travailler la terre avec des gestes tremblants. Il s'asseyait aussi quelquefois dans la vallée (3) ... sa pipe. Sa tête était devenue plus maigre encore et disparaissait sous son béret de montagnard. Les gens disaient : «Il lui reste peu de temps à vivre». Je lui donnais de temps en temps du tabac car il en était (4) ... . Il avait fumé un peu de tout : des feuilles de châtaignier, du tilleul. Il (5) ... quand même aux événements et je répondais aux questions qu'il me posait.

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

I. Pour le troisième centenaire de sa mort (1695), la France célèbre avec éclat la mémoire de Jean de La Fontaine  — le plus illustre de ses hommes après Victor Hugo, si l'on en croit les sondages. Et notamment à Château-Thierry, sa ville natale où le poète fabuliste fait l'objet d'un véritable culte.

II. Traditionnellement, les admirateurs du fabuliste y débarquent en nombre chaque fin de semaine. Ils arrivent de l'Europe entière, d'Amérique du Sud, d'Afrique, du Japon et même de Chine. Ils se pressent devant les vitrines des magasins où les fables sont mises en scène, tandis que, sur des chars (те­ле­га) garnis de fleurs, défilent ses personnages les plus fam eux : le loup et l'agneau, le renard et le corbeau, la cigale et la fourmi.

III. Au pied des murailles de l'ancien château fortifié, les visiteurs découvrent la maison où naquit La Fontaine en 1621. Une belle demeure qui ne mangue pas de pittoresque et de charme. La maison resta la propriété de La Fontaine jusqu'en 1676, année où ilia vendit à un officier de chasse de Louis XIV. Si tout a disparu de l'intérieur de l'époque, le musée garde en revanche un trésor d'images, d'éditions illustrées, de tabl eaux, de manuscrits, d'objets divers. De toutes provenances, ils témoignent de la popularité du fabuliste à travers le monde.

IV. Dans la pièce principale, autour des bustes en marbre blanc de Racine et de Molière, a été reconstituée l'atmosphère où vivait le poète. On y évoque les différentes phases de sa vie bien documentées. Sur les murs, on voit des portraits représentant les grandes dames qui se firent les protectrices du fabuliste. Le salon voisin rassemble une collection d'objets d'usage quotidien décorés de motifs empruntés aux fables et aux contes. li y en a de toutes sortes et de partout. Tous évoquent l'oe uvre du fabuliste : Le renard et les raisins, Le renard et la cigogne. Des jeux d'enfants, certains curieux, extraordinaires, témoignent de l'importance de l'oeuvre de La Fontaine dans l'édu cation des petits.

V. Quant aux recueils de fables, ils sont innombrables et présentés dans toutes les langues du globe. Le musée possède la collection  — unique au monde  — de 300 illustrations réalisées par des dessinateurs et des miniaturistes français et surtout étrangers : chinois, persans, égyptiens. Nulle part mieux qu 'à Château-Thierry, on ne peut apprécier l'universalité de l'oeuvre de La Fontaine. Ni mesurer à quel point il a contribué au rayonnement de la culture française. Molière voyait juste lorsqu'il écrivait : «Il vivra plus longtemps que nous».

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.

En 1885, l'atelier du jeune Armand Peugeot produit des lunettes et des bicyclettes qu'on nomme «Vélos Peugeot». Armand (1) ... aussi à la mécanique des voitures, cette nouvelle branche de l'industrie. En 1890, il (2) ... une première voiture avec quatre roues. Ses amis ne croient pas leurs (3) ... . L'auto a une forme spéciale, elle est solide, mais elle n'a pas encore de machine à essence. On doit brûler du bois pour avancer !

Quand Armand Peugeot entend qu'on organise une (4) ... de Paris à Brest, il y participe avec sa voiture. Une casquette sur la tête, Armand est très (5) ..., mais il arrive le dernier.

Pourtant Armand Peugeot ne (6) ... pas devant les problèmes. En 1896, il invente un autre (7) ... . De cette façon, il peut construire une (8) ... en moteur qu'il appelle «la Peugeot 4 Chevaux». Maintenant il peut cueillir les (9) ... de son travail. En 1900, déjà 500 personnes roulent dans des Peugeot neufs. Sur chaque voiture, Armand Peugeot met sa signature et un petit lion brillant qui représente le courage et la force.

Les usines Peugeot continuent leur progrès en ligne droite. Elles (10) ... maintenant 500 000 voitures par an, d'après les derniers chiffres.