(1) ... 1962, les parents de Farès ont quitté Alger et se sont installés à Paris (2) ... un petit appartement du 20e arrondissement. C’est dans ce quartier que celui-ci est né et qu’il habite encore avec ses parents et ses deux sœurs, Monia et Zhora. Âgé aujourd’hui de vingt-cinq ans Farès est (3) ... mécanicien dans un garage rue de Ménilmontant et, avec ses 875 euros par mois, il ne peut pas encore avoir son propre appartement ou s’offrir (4) ... moto, sa passion.

(1) ... 1962, les parents de Farès ont quitté Alger et se sont installés à Paris (2) ... un petit appartement du 20e arrondissement. C’est dans ce quartier que celui-ci est né et qu’il habite encore avec ses parents et ses deux sœurs, Monia et Zhora. Âgé aujourd’hui de vingt-cinq ans Farès est (3) ... mécanicien dans un garage rue de Ménilmontant et, avec ses 875 euros par mois, il ne peut pas encore avoir son propre appartement ou s’offrir (4) ... moto, sa passion.

(1) ... 1962, les parents de Farès ont quitté Alger et se sont installés à Paris (2) ... un petit appartement du 20e arrondissement. C’est dans ce quartier que celui-ci est né et qu’il habite encore avec ses parents et ses deux sœurs, Monia et Zhora. Âgé aujourd’hui de vingt-cinq ans Farès est (3) ... mécanicien dans un garage rue de Ménilmontant et, avec ses 875 euros par mois, il ne peut pas encore avoir son propre appartement ou s’offrir (4) ... moto, sa passion.

(1) ... 1962, les parents de Farès ont quitté Alger et se sont installés à Paris (2) ... un petit appartement du 20e arrondissement. C’est dans ce quartier que celui-ci est né et qu’il habite encore avec ses parents et ses deux sœurs, Monia et Zhora. Âgé aujourd’hui de vingt-cinq ans Farès est (3) ... mécanicien dans un garage rue de Ménilmontant et, avec ses 875 euros par mois, il ne peut pas encore avoir son propre appartement ou s’offrir (4) ... moto, sa passion.

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Avant j’habitais dans le centre-ville de Paris, à dix minutes en bus de l’hôpital (1) ... je travaille actuellement. Mais je déprimais dans mon petit appartement et j’avais envie de plus d’espace. Aujourd’hui je vis à la campagne et je (j’) (2) ... habite une très belle maison. Le loyer est aussi cher que (3) ... de mon ancien logement mais j’ai cinq pièces, une terrasse et un grand jardin. C’est sûr que le soir je (j’) (4) ... par la route que je fais et qui est bien longue. Mais, (5) ..., comment choisir entre un travail que j’adore et la maison de mes rêves à la campagne ! Je ne sais pas (6) ... faire !

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Je m’appelle Josette Lintelligent. Quand j’étais petite, je (j’) (1) ... aider ma mère. Un jour, ma mère m’ (2) ... faire des courses au supermarché. Elle m’a demandé d’acheter un paquet de beurre, deux kilos de sucre et cinq tomates. Pendant que je marchais je (j’) (3) ... : «Cinq paquets de beurre, un kilo de …». Au supermarché la vendeuse me (m’) (4) ... cinq paquets de beurre, un kilo de sucre et deux tomates. J’ai pensé : «Ma mère (5) ... fière de moi» !. Le soleil brillait et moi, je m’inquiétais. Comment préserver le beurre, les tomates, le sucre ? Vite, j’ai mis le beurre sous ma casquette pour qu’il ne fonde pas, et j’ai protégé le sucre en le mettant sous les tomates. Quand je suis rentrée, le beurre fondu (6) ... sur mes joues et maman a trouvé une sauce de tomate sucrée dans mon sac.

Salut, Olivia ! J’ai appris que tu (1) ... acheter un appartement. Est-ce que tu en (2) ... un ? Moi, acheter un appartement, j’y penserai dans quelques (3) ..., quand j’aurai plus de (d)’ (4) ... . En ce moment, j’essaie de perdre des (5) ... parce que j’en ai pris trop pendant les vacances. Dis-moi vite ce que tu en penses !

Salut, Olivia ! J’ai appris que tu (1) ... acheter un appartement. Est-ce que tu en (2) ... un ? Moi, acheter un appartement, j’y penserai dans quelques (3) ..., quand j’aurai plus de (d)’ (4) ... . En ce moment, j’essaie de perdre des (5) ... parce que j’en ai pris trop pendant les vacances. Dis-moi vite ce que tu en penses !

Salut, Olivia ! J’ai appris que tu (1) ... acheter un appartement. Est-ce que tu en (2) ... un ? Moi, acheter un appartement, j’y penserai dans quelques (3) ..., quand j’aurai plus de (d)’ (4) ... . En ce moment, j’essaie de perdre des (5) ... parce que j’en ai pris trop pendant les vacances. Dis-moi vite ce que tu en penses !

Salut, Olivia ! J’ai appris que tu (1) ... acheter un appartement. Est-ce que tu en (2) ... un ? Moi, acheter un appartement, j’y penserai dans quelques (3) ..., quand j’aurai plus de (d)’ (4) ... . En ce moment, j’essaie de perdre des (5) ... parce que j’en ai pris trop pendant les vacances. Dis-moi vite ce que tu en penses !

Salut, Olivia ! J’ai appris que tu (1) ... acheter un appartement. Est-ce que tu en (2) ... un ? Moi, acheter un appartement, j’y penserai dans quelques (3) ..., quand j’aurai plus de (d)’ (4) ... . En ce moment, j’essaie de perdre des (5) ... parce que j’en ai pris trop pendant les vacances. Dis-moi vite ce que tu en penses !

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable ?

— Eh bien, nous avons constaté que 50 % des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять) : ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone ? Hein ? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant ? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50 %.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route ?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40 % environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident ?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

Tout comme Lucette Bériot, qui tient un kiosque dans le 15e arrondissement, les kiosques parisiens vivent des temps difficiles. Avec des horaires de treize à quatorze heures par jour pour un salaire souvent proche du SMIC (le salaire minimum de croissance), la profession est en crise. Et les conditions de travail sont si dures qu’en cinq ans (1) ... . Il n’en reste que 305 dans toute la capitale.

Si l’on veut gagner notre vie, on est obligés d’arriver très tôt et de partir très tard. Moi, par exemple, j’arrive le matin…il est six heures vingt, six heures et demie…j’ouvre le kiosque, je fais la mise en place, c’est-à-dire que je suis obligée de compter tous les quotidiens, tous les magazines. Après je fais le retour de tout ce qui n’a pas été vendu. Et, en même temps, bien sûr, (2) ... . Et puis, vous savez, quand on est kiosquier, on travaille par tous les temps, même quand (3) ... . Ben oui…

Ce que je voudrais dire aussi, c’est que la fermeture des kiosques a des conséquences sur la vie du quartier. Parce qu’on vend la presse, mais en même temps, il n’y a pas que ça ! Le kiosque, c’est quand même un lieu de rencontre. Il y a plein de gens qui (4) ... pour acheter leur journal mais aussi pour discuter. Si l’on supprime le kiosque c’est un peu la vie du quartier qui part aussi.

Alors bon ! Il y a tellement de kiosques qui (5) ... que la ville de Paris essaie de réagir. Elle a déjà proposé des mesures concrètes pour éviter que tous disparaissent les uns après les autres. Ce n’est pas facile de convaincre des gens de reprendre un kiosque : faire treize heures par jours pour le SMIC ce n’est pas évident ! On est payé par rapport au nombre d’exemplaires vendus et on vend de moins en moins. Tout le monde le sait, les ventes de journaux (6) ... à cause du prix et l’arrivée des journaux gratuits comme Métro et 20 minutes, ça n’a fait qu’aggraver la situation. Je pense si l’on arrive à convaincre les éditeurs qu’il faut gagner plus, ce sera un métier où on gagnera bien sa vie et les gens reviendront.

C’est vrai qu’aujourd’hui la (1) ... (consommer) est un sujet central, même chez les plus jeunes. Mais enfin, là où je ne suis pas (2) ... (vrai) d’accord avec vous, c’est quand vous dites que la solidarité entre individus n’existe plus. Moi, je suis sûre que le monde n’est pas aussi sombre que ça. Il y a de très (3) ... (nombre) associations, dont vous faites partie d’ailleurs, qui viennent en aide aux plus pauvres ou aux personnes âgées.

C’est vrai qu’aujourd’hui la (1) ... (consommer) est un sujet central, même chez les plus jeunes. Mais enfin, là où je ne suis pas (2) ... (vrai) d’accord avec vous, c’est quand vous dites que la solidarité entre individus n’existe plus. Moi, je suis sûre que le monde n’est pas aussi sombre que ça. Il y a de très (3) ... (nombre) associations, dont vous faites partie d’ailleurs, qui viennent en aide aux plus pauvres ou aux personnes âgées.

C’est vrai qu’aujourd’hui la (1) ... (consommer) est un sujet central, même chez les plus jeunes. Mais enfin, là où je ne suis pas (2) ... (vrai) d’accord avec vous, c’est quand vous dites que la solidarité entre individus n’existe plus. Moi, je suis sûre que le monde n’est pas aussi sombre que ça. Il y a de très (3) ... (nombre) associations, dont vous faites partie d’ailleurs, qui viennent en aide aux plus pauvres ou aux personnes âgées.

Aujourd’hui on trouve des produits «light» dans tous les rayons du (1) ... . Mais ces produits ne sont pas tous efficaces, certains peuvent être (2) ... . Pour reconnaître un bon produit il faut bien lire les étiquettes et comparer la (3) ... énergétique. Pour avoir la dénomination «light» ou «allégé» l’entreprise peut enlever une (4) ... quantité de sucre, mais ajouter la même quantité de gras. Ce ne sera pas un produit allégé, mais il pourra (5) ... «light». Certains plats «light» sont souvent plus riches qu’un plat normal, ils coûtent plus cher et on (6) ... prend plus. Mais il y a des avantages aussi. Ces produits sont vraiment «allégés» en sucre et en lipide. Ils permettent de réduire de 10 à 25 % le nombre de calories (7) ... pour les portions de masse équivalentes. Ces produits sont (8) ... dans le cadre d’un régime minceur. Mais attention à la quantité, car c’est là où le bât blesse : les consommateurs ont tendance à en consommer plus.

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