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РЕШУ ЦТ — французкий язык
Перевод слов в предложении
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Пе­ре­ве­ди­те на фран­цуз­ский язык фраг­мент пред­ло­же­ния, дан­ный в скоб­ках.

 

J'ai (аб­со­лют­но) besoin de le voir.

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Пе­ре­ве­ди­те на фран­цуз­ский язык фраг­мент пред­ло­же­ния, дан­ный в скоб­ках.

 

Avant la Révolution Française, la France était divisée en (про­вин­ции).

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Про­чи­тай­те текст и вы­пол­ни­те за­да­ния к нему. Ука­жи­те зна­че­ние под­черк­ну­то­го в тек­сте в аб­за­це I слова.


I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable?

— Eh bien, nous avons constaté que 50% des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять): ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone? Hein? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50%.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40% environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

1) journaliste
2) agent de police
3) passager
4) interlocuteur
4.  
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Ука­жи­те зна­че­ние под­черк­ну­то­го в аб­за­це IV слова.


I. Vivre dans une grande ville, c'est être en perpétuel mouvement, bouger, se déplacer matin et soir, 80% des Français ont une voiture et l'utilisent chaque jour. Pourtant, dans les grandes villes, circuler en voiture est difficile. La circulation dans les rues et les avenues est très intense tout au long de la journée. On se demande ce qui se passerait s'il n'y avait pas de moyens de transport collectif.

II. La première ligne de métro de Paris a été inaugurée en 1900. Marseille et Lyon se sont aussi dotés de métros. A la pointe du progrès, le VAL (système de métro automatique) roule sans bruit et sans conducteur à Lille, à Strasbourg et à Toulouse. Enfin, le «tram» ou tramway, vieille invention anglaise a refait son apparition à Nantes, Grenoble, Bordeaux, Marseille et Paris. L’automobile règne en maître sur la circulation urbaine. Mais la ville n'était pas faite pour elle, il a fallu qu'elle s'adapte, ce qui n'a pas toujours été réussi. En ville, il vaut mieux aller à pied, si l'on ne va pas trop loin. A vélo, on peut aller plus vite, et sans trop de danger, lorsque les villes aménagent des voies cyclables, Elles proposent de plus en plus de vélos à louer sur le modèle des Vélib' parisiens. Mais la France n'est pas encore la Hollande, où l'on compte plus de vélos que d'habitants! Les motos et les scooters ne représentent que 2% des moyens de transport urbains à Paris, un peu plus dans les villes de province.

III. Jadis, l'air des grandes villes était gravement pollué par les fumées du chauffage au charbon des maisons et des usines. Aujourd'hui, le chauffage est modernisé, et les usines, éloignées en banlieue, sont équipées de filtres efficaces. La voiture est la principale source de pollution. Les médecins constatent leurs effets nocifs chez les enfants qui souffrent de plus en plus de troubles de la respiration. On mesure désormais la qualité de l'air dans les grandes villes.

IV. Le combat pour un meilleur environnement est l'affaire de tous. La présence d'espaces verts, de grands arbres alignés sur les places et le long des avenues est souhaitable. A défaut de purifier l'air, ils retiennent les poussières, et, surtout, ils rafraîchissent l'air en libérant de l'eau par évaporation. Les rues interdites aux voitures sont de plus en plus nombreuses. Ce sont des îlots de calme où l'on se promène parmi les boutiques. D'ailleurs, c'est le bruit qui empêche de prendre ce plaisir. C'est pour fuir la pollution, le bruit, le stress que des millions de citadins se précipitent en fin de semaine sur les routes à destination de la campagne.

1) chercher
2) passer
3) respirer
4) éviter
5.  
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Про­чи­тай­те текст и вы­пол­ни­те за­да­ния к нему. Ука­жи­те ва­ри­ант, наи­бо­лее точно пе­ре­да­ю­щий смысл вы­де­лен­но­го в аб­за­це III пред­ло­же­ния.


I.  — Alors, Patrick Taillandier, vous êtes responsable de recherche pour la Sécurité routière, pouvez-vous nous dire quel est le comportement des automobilistes par rapport à leur téléphone portable?

— Eh bien, nous avons constaté que 50% des conducteurs que nous avons testés sur l’autoroute décrochent en moins de deux secondes, même s’ils sont en train de doubler (об­го­нять): ils donnent toujours la priorité au téléphone. Nous avons aussi remarqué que, dans ce cas-là, le regard du conducteur se fixe droit devant. Que voit-il après avoir décroché son téléphone? Hein? Est-ce vraiment la route ou le visage de son correspondant? Bon, les expériences ne permettent pas de le dire. Et puis, la dernière observation concerne une augmentation importante du temps de réaction, en moyenne de 50%.

II.  — Est-ce qu’on connait l’influence des portables sur les accidents de la route?

— Il y a plusieurs études qui ont été faites. La plus sérieuse a été réalisée au Québec. Cette étude a porté sur 12000 personnes qui ont eu un accident de voiture et qui utilisaient ou non un portable. Eh bien, le résultat de cette étude a permis de montrer que l’utilisation du téléphone portable augmente le risque d’accident de 40% environ.

III.  — A votre avis, est-ce que l’utilisation du kit «mains libres», par exemple, réduit les risques d’accident?

— Les kits «mains libres» ne servent à rien puisque ce ne sont pas les mains qui sont responsables de ce regard fixe. Non, c’est vraiment parce que l’attention de l’individu est complètement prise par la communication téléphonique. Donc, kit «mains libres» ou pas, vous n’empêcherez pas la personne qui entend sonner de «décrocher», vous ne l’empêcherez pas d’être prise par sa conversation. Surtout si elle a un problème à résoudre. Donc, c’est exactement pareil.

— Donc, le seul conseil, en fait, qu’on peut donner aux automobilistes, c’est de répondre au téléphone seulement après avoir arrêté leur véhicule.

— Pour le moment, oui. Mais je crois surtout qu’il est préférable d’éteindre son portable avant de monter dans sa voiture.

1) Je pense qu’il est bien raisonnable de garder son portable dans sa voiture.
2) Je trouve que ce serait bien qu’on éteigne son portable avant de quitter sa voiture.
3) Je préfère que tous arrêtent leur portable avant de se mettre au volant de leur voiture.
4) Je crois qu’il est souhaitable de casser son portable avant de s’installer dans sa voiture.
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Ука­жи­те зна­че­ние под­черк­ну­то­го в аб­за­це II слова.


I. Presque tous les jeunes aujourd'hui sont inscrits sur des sites sociaux: cette pratique commence un peu lors du primaire (20% des enfants français auraient un compte Facebook), s'accentue avec l'arrivée au collège (48%), et devient presque générale au moment du lycée (90%) selon une étude effectuée en 2008 en France. Selon un sondage mené en France en 2010, la plupart des jeunes déclarent être membres de 4 réseaux sociaux. Cette inscription ne signifie pas que les adolescents participent tous avec la même intensité à la sociabilité numérique, mais la plupart d'entre eux font un usage quotidien d'Internet, le consultent plusieurs fois par jour, en particulier pour les réseaux sociaux et les blogues.

II. Cette donnée essentielle transforme les modes de relations entre les jeunes: elle refait, prolonge, réorganise les contacts sans supprimer ou même réduire le face-à-face avec les amis ou les sorties entre jeunes. L'amitié «high-tech» reste éloignée de celle, plus authentique et plus confiante, que l'on construit dans «la vie réelle»; plus précisément, ces amitiés dans la vie sont d'intensité variable: certains «amis» sont des proches, d'autres de vagues ou d'anciennes connaissances, d'autres des personnes inconnues juste croisées que l'on ne reverra jamais, d'autres des «amis d'amis» à peine identifiés; les vraies conversations s'opèrent dans la sphère des amis intimes d'avant, ceux auxquels on consacre du temps au téléphone.

III. L'amitié virtuelle fait l'objet de critiques, comme si elle marquait la fin des liens profonds et presque exclusifs de l'amitié véritable. L'amitié est au plus haut dans les valeurs appréciées par les jeunes. Ceux-ci savent bien distinguer les différents niveaux de l'amitié qui vont de l'attachement intime et durable au contact léger avec les membres du réseau. De fait, c'est sur cet ensemble de liens à intensité graduée qu'ils comptent pour fonctionner et avancer dans la vie, bien avant les formes d'institution collective ou même la famille qui pourtant ont plus d'importance. Par contre le partage de fichiers ( файл)  — créations personnelles, morceaux de musiques, films, jeux, photos, vidéos ou informations  — pour lequel les sites communautaires sont bien adaptés s'opère facilement avec des inconnus.

IV. Pour autant il ne faudrait pas idéaliser la fonction de mixage du réseau: on s'ouvre certes à d'autres, mais on a toutes les chances de naviguer dans le même univers socioculturel. Si Internet élargit les chances de participation de tous à l'espace public, il reproduit en son intérieur les niveaux distincts de la société.

1) augmenter
2) diminuer
3) développer
4) laisser
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Ука­жи­те наи­бо­лее точ­ный рус­ский эк­ви­ва­лент вы­де­лен­но­го в аб­за­це III пред­ло­же­ния.


I. Est-ce le besoin de réalité qui pousse les gens à écouter ou à participer aux émissions télévisées? Ou est-ce plutôt le besoin d'évasion (бег­ство) de la réalité qui les entraîne ainsi vers l'illusion d'une vie rêvée à travers l'écran du bonheur? On peut se poser bien des questions sur le phénomène grandissant de la téléréalité sous toutes ses formes: des épreuves physiques et psychologiques jusqu'au mariage en direct, en passant par les travaux de rénovation, les concours de chant, la vie d'anciennes vedettes, tout y passe. Les expériences de la vie quotidienne de n'importe qui peuvent ainsi se trouver captées par des caméras. L'espace de la vie privée est envahi par la vie publique. Le quotidien devient spectacle. Les quinze minutes de gloire, même si elles durent parfois des heures, sont alors à la portée de tous, grâce au téléviseur.

II. A quoi donc correspond ce besoin de s'offrir un spectacle? La réalité est-elle devenue à ce point monotone qu'on doive y ajouter du relief par l'apparition sur un écran de télévision? Tout le goût de la réalité de la vie quotidienne devient-il plus délicieux quand elle passe par l'écran? On pourrait répondre à toutes ces questions en affirmant que la téléréalité ne représente qu'une mode passagère. Donc, ce phénomène de société est temporaire et ne constitue qu'une part de l'espace télévisuel. De plus, il y a bien d'autres types d'émissions. Finalement il n'y aurait aucune raison de s'inquiéter.

III. Pourtant, on pourrait répondre à cela que la popularité sans cesse grandissante de ce type d'émissions marque un tournant (озна­чать пе­ре­лом). Car c'est la fonction même de la télévision qui est en train de changer. Le téléviseur n'est plus seulement un moyen d'informations et de divertissements. Il est à la découverte des secrets des autres. C'est ainsi que chaque personne peut se considérer comme un personnage d'une téléréalité à venir. La vie quotidienne de tous n'est plus banale puisqu'on peut l'entrevoir comme une possibilité d'émission télévisuelle. C'est pourquoi on peut dire que la téléréalité donne de l'éclat à la vie des téléspectateurs qui s'identifient facilement aux acteurs. Il n'y a plus besoin d'avoir une vie rêvée ou extraordinaire pour passer à l'écran. Il suffit de s'imaginer, au quotidien, comme un participant à une émission de téléréalité. Cette dernière offre alors la possibilité que tout le monde caresse secrètement, d'être une vedette reconnue par tous, sans faire d'efforts, en étant simplement quelconque. La téléréalité, est-ce finalement un miroir moderne dans lequel on se compare aux autres pour se consoler?

1) Так как из­ме­ня­ет­ся само те­ле­ви­де­ние.
2) Таким об­ра­зом, даже роль те­ле­ви­де­ния из­ме­ня­ет­ся.
3) Так как из­ме­ня­ет­ся имен­но сама роль те­ле­ви­де­ния.
4) Так как даже само те­ле­ви­де­ние из­ме­ня­ет­ся.
8.  
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Ука­жи­те наи­бо­лее точ­ный рус­ский эк­ви­ва­лент вы­де­лен­но­го в аб­за­це III пред­ло­же­ния.

 

Ce n'est pas une langue étrangère ordinaire car, pour beaucoup, elle constitue le moyen le plus sûr d'accès au savoir et au pouvoir.


La langue française en Afrique

I. En Afrique, le français est une langue parlée et écrite influencée de plusieurs langues locales. Dans les années à venir, les progrès de la langue française en Afrique dépendront de sa capacité à jouer un rôle décisif, non seulement comme un moyen de communication national, international et interafricain, mais aussi comme un facteur réel du développement dans les domaines de l'éducation, de la science, de l'économie et de la vie sociale. Il faut qu'il existe un dialogue des cultures, et d'abord celui des langues dans des conditions à la fois réalistes et acceptables. La véritable coopération entre les peuples trouve son fondement dans le respect mutuel, l'échange, la Solidarité.

II. On se demande, en Afrique, si la francophonie est un simple effet de mode ou si, au contraire, elle est un mouvement du cœur et de l'intelligence appelé à changer véritablement la vie des peuples parlant français. Le continent africain qui est préoccupé de son développement, a toujours été pour son identité culturelle: il est important de savoir les conditions historiques qui ont permis l'expansion de la langue française et le contexte social et psychologique dans lequel cette langue évolue aujourd'hui.

III. L’attitude de l'Afrique envers la langue française n'est pas ancienne, mais déjà complexe et problématique. Le français est la langue officielle d'une vingtaine d'Etats, c'est-à-dire la langue de l'administration, de la justice, de la grande presse et de l'enseignement à tous les niveaux. Ce n'est pas une langue étrangère ordinaire car, pour beaucoup, elle constitue le moyen le plus sûr d'accès au savoir et au pouvoir. Langue dominante juridiquement mais minoritaire sociologiquement (puisque parlée par moins de 10% de la population), elle pose au pédagogue un problème sérieux: doit-elle être utilisée comme le moyen le plus important de l'enseignement, surtout dans les premières années de scolarisation? Langue non ethnique, elle se présente, dans les situations plurilingues qui sont la règle dans les Etats africains, comme un facteur possible de l'unification nationale. De là, son prestige et son incroyable impopularité. De là aussi, cette attitude des Africains à son égard: mélange d'amour et de haine.

IV. De son origine coloniale et de son prestige passé, le français a encore gardé un vague esprit de domination, de sa supériorité sur les autres langues en Afrique. Il est une langue non maternelle pour la grande majorité de ceux qui l'apprennent. Mais il ne s'agit pas de la langue à part, du «français africain»: il est impossible de distinguer ou de Séparer le français pratiqué en Afrique du français général.

1) Это не­ор­ди­нар­ный ино­стран­ный язык, по­сколь­ку для мно­гих он яв­ля­ет­ся самым на­деж­ным спо­со­бом по­лу­че­ния до­сту­па к зна­ни­ям и вла­сти.
2) Это не­обыч­ный ино­стран­ный язык, ведь для боль­шин­ства он яв­ля­ет­ся одним из спо­со­бов по­лу­че­ния зна­ний и вла­сти.
3) Это не­за­у­ряд­ный ино­стран­ный язык, так как он поз­во­ля­ет боль­шин­ству уве­рен­но про­дви­гать­ся по служ­бе, по­лу­чив зна­ния и власть.
4) Это не­обык­но­вен­ный ино­стран­ный язык, поз­во­ля­ю­щий боль­шин­ству по­лу­чать зна­ния на пути к вла­сти любым спо­со­бом.