De nos jours, des milliers de Français deviennent bénévoles (во­лонтёры). Tous les jours, ils vont à l’université ou au travail, (1) ... du bénévolat, aident des personnes en difficulté et se sentent heureux. Lorsque Fabien a commencé son bénévolat, il (2) ... au chômage et cherchait sans cesse du travail. Le bénévolat lui a permis de garder une activité et de se créer un réseau professionnel. Marine cherchait une organisation bénévole pour travailler à l’étranger. Elle est partie au Burkina Faso, en Afrique, puis en Inde. Marine y a passé deux ans, (3) ... beaucoup de choses là-bas et a visité des endroits exotiques. En général, on y va pour donner de son temps, aider les autres, mais finalement, ce sont les bénévoles qui profiteront le plus : ils recevront une bonne expérience, trouveront de nouveaux amis et (4) ... des souvenirs inoubliables !

De nos jours, des milliers de Français deviennent bénévoles (во­лонтёры). Tous les jours, ils vont à l’université ou au travail, (1) ... du bénévolat, aident des personnes en difficulté et se sentent heureux. Lorsque Fabien a commencé son bénévolat, il (2) ... au chômage et cherchait sans cesse du travail. Le bénévolat lui a permis de garder une activité et de se créer un réseau professionnel. Marine cherchait une organisation bénévole pour travailler à l’étranger. Elle est partie au Burkina Faso, en Afrique, puis en Inde. Marine y a passé deux ans, (3) ... beaucoup de choses là-bas et a visité des endroits exotiques. En général, on y va pour donner de son temps, aider les autres, mais finalement, ce sont les bénévoles qui profiteront le plus : ils recevront une bonne expérience, trouveront de nouveaux amis et (4) ... des souvenirs inoubliables !

De nos jours, des milliers de Français deviennent bénévoles (во­лонтёры). Tous les jours, ils vont à l’université ou au travail, (1) ... du bénévolat, aident des personnes en difficulté et se sentent heureux. Lorsque Fabien a commencé son bénévolat, il (2) ... au chômage et cherchait sans cesse du travail. Le bénévolat lui a permis de garder une activité et de se créer un réseau professionnel. Marine cherchait une organisation bénévole pour travailler à l’étranger. Elle est partie au Burkina Faso, en Afrique, puis en Inde. Marine y a passé deux ans, (3) ... beaucoup de choses là-bas et a visité des endroits exotiques. En général, on y va pour donner de son temps, aider les autres, mais finalement, ce sont les bénévoles qui profiteront le plus : ils recevront une bonne expérience, trouveront de nouveaux amis et (4) ... des souvenirs inoubliables !

De nos jours, des milliers de Français deviennent bénévoles (во­лонтёры). Tous les jours, ils vont à l’université ou au travail, (1) ... du bénévolat, aident des personnes en difficulté et se sentent heureux. Lorsque Fabien a commencé son bénévolat, il (2) ... au chômage et cherchait sans cesse du travail. Le bénévolat lui a permis de garder une activité et de se créer un réseau professionnel. Marine cherchait une organisation bénévole pour travailler à l’étranger. Elle est partie au Burkina Faso, en Afrique, puis en Inde. Marine y a passé deux ans, (3) ... beaucoup de choses là-bas et a visité des endroits exotiques. En général, on y va pour donner de son temps, aider les autres, mais finalement, ce sont les bénévoles qui profiteront le plus : ils recevront une bonne expérience, trouveront de nouveaux amis et (4) ... des souvenirs inoubliables !

La créativité musicale est l’une des (1) ... fondamentales du cerveau, tout comme le langage et la logique mathématique. Faire de la musique stimule le cerveau et (2) ... l’apprentissage du langage. Des études montrent que, au cours des premières (3) ... de la vie, la façon de penser, de réagir, de se comporter ne dépend pas seulement de l’ambiance familiale, mais aussi de l’environnement sonore. La structure de notre cerveau (4) ... à celle de certains styles de musique. Donc, si on initie les enfants à la musique dès le plus jeune âge, on stimule leur développement artistique et cognitif (по­зна­ва­тель­ный) !

La créativité musicale est l’une des (1) ... fondamentales du cerveau, tout comme le langage et la logique mathématique. Faire de la musique stimule le cerveau et (2) ... l’apprentissage du langage. Des études montrent que, au cours des premières (3) ... de la vie, la façon de penser, de réagir, de se comporter ne dépend pas seulement de l’ambiance familiale, mais aussi de l’environnement sonore. La structure de notre cerveau (4) ... à celle de certains styles de musique. Donc, si on initie les enfants à la musique dès le plus jeune âge, on stimule leur développement artistique et cognitif (по­зна­ва­тель­ный) !

La créativité musicale est l’une des (1) ... fondamentales du cerveau, tout comme le langage et la logique mathématique. Faire de la musique stimule le cerveau et (2) ... l’apprentissage du langage. Des études montrent que, au cours des premières (3) ... de la vie, la façon de penser, de réagir, de se comporter ne dépend pas seulement de l’ambiance familiale, mais aussi de l’environnement sonore. La structure de notre cerveau (4) ... à celle de certains styles de musique. Donc, si on initie les enfants à la musique dès le plus jeune âge, on stimule leur développement artistique et cognitif (по­зна­ва­тель­ный) !

La créativité musicale est l’une des (1) ... fondamentales du cerveau, tout comme le langage et la logique mathématique. Faire de la musique stimule le cerveau et (2) ... l’apprentissage du langage. Des études montrent que, au cours des premières (3) ... de la vie, la façon de penser, de réagir, de se comporter ne dépend pas seulement de l’ambiance familiale, mais aussi de l’environnement sonore. La structure de notre cerveau (4) ... à celle de certains styles de musique. Donc, si on initie les enfants à la musique dès le plus jeune âge, on stimule leur développement artistique et cognitif (по­зна­ва­тель­ный) !

I.  L’examen symbolise la première grande reconnaissance sociale et académique. Le diplôme marque l’entrée dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage des jeunes à la vie adulte. C’est pourquoi le stress est étroitement lié aux épreuves. C’est non seulement le niveau de connaissances qui va être testé, mais aussi la personnalité du candidat. Cela est surtout vrai lors des épreuves orales, qui font souvent plus peur que les épreuves écrites. Certains perdent la tête (рас­те­рять­ся), d’autres, au contraire, sont électrisés, poussés à l’action par cette notion de «danger». C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il vous rend plus efficace et plus performant, mais à dose trop grande, il vous paralyse.

II.  Celui qui considère que son examen a un rôle vital et qui pense qu’il n’a aucune chance de le réussir, s’enferme dans un stress puissant. Mais celui qui se préoccupe peu de ses épreuves et de ses révisions, a un niveau de stress trop bas qui ne le rendra pas efficace. Il faut à tout prix se situer entre les deux, trouver un équilibre. Pour cela, il est important de transformer .ses exigences en préférences : «je voudrais réussir» plutôt que «rater (про­ва­лить) l’examen, c’est la catastrophe».

III.  Pour arriver le jour de l’examen au mieux de sa forme, voici quelques conseils utiles. Il est indispensable de ne pas sacrifier (жерт­во­вать) son sommeil, de manger équilibré et de ne pas boire trop de café. Pratiquez une activité physique afin de relâcher (осла­бить) un peu la pression. Enfin, quelques méthodes de relaxation sont toujours bénéfiques (бла­го­при­ят­ные) pour apprendre à se détendre et à mieux respirer. Il est aussi important, dans les jours qui précèdent, d’aérer son cerveau fatigué à l’aide d’un bon film, d’une sortie entre copains ou d’un dîner sympa. Il faut équilibrer le stress et développer des émotions positives par le rire, par exemple.

I.  L’examen symbolise la première grande reconnaissance sociale et académique. Le diplôme marque l’entrée dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage des jeunes à la vie adulte. C’est pourquoi le stress est étroitement lié aux épreuves. C’est non seulement le niveau de connaissances qui va être testé, mais aussi la personnalité du candidat. Cela est surtout vrai lors des épreuves orales, qui font souvent plus peur que les épreuves écrites. Certains perdent la tête (рас­те­рять­ся), d’autres, au contraire, sont électrisés, poussés à l’action par cette notion de «danger». C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il vous rend plus efficace et plus performant, mais à dose trop grande, il vous paralyse.

II.  Celui qui considère que son examen a un rôle vital et qui pense qu’il n’a aucune chance de le réussir, s’enferme dans un stress puissant. Mais celui qui se préoccupe peu de ses épreuves et de ses révisions, a un niveau de stress trop bas qui ne le rendra pas efficace. Il faut à tout prix se situer entre les deux, trouver un équilibre. Pour cela, il est important de transformer .ses exigences en préférences : «je voudrais réussir» plutôt que «rater (про­ва­лить) l’examen, c’est la catastrophe».

III.  Pour arriver le jour de l’examen au mieux de sa forme, voici quelques conseils utiles. Il est indispensable de ne pas sacrifier (жерт­во­вать) son sommeil, de manger équilibré et de ne pas boire trop de café. Pratiquez une activité physique afin de relâcher (осла­бить) un peu la pression. Enfin, quelques méthodes de relaxation sont toujours bénéfiques (бла­го­при­ят­ные) pour apprendre à se détendre et à mieux respirer. Il est aussi important, dans les jours qui précèdent, d’aérer son cerveau fatigué à l’aide d’un bon film, d’une sortie entre copains ou d’un dîner sympa. Il faut équilibrer le stress et développer des émotions positives par le rire, par exemple.

I.  L’examen symbolise la première grande reconnaissance sociale et académique. Le diplôme marque l’entrée dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage des jeunes à la vie adulte. C’est pourquoi le stress est étroitement lié aux épreuves. C’est non seulement le niveau de connaissances qui va être testé, mais aussi la personnalité du candidat. Cela est surtout vrai lors des épreuves orales, qui font souvent plus peur que les épreuves écrites. Certains perdent la tête (рас­те­рять­ся), d’autres, au contraire, sont électrisés, poussés à l’action par cette notion de «danger». C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il vous rend plus efficace et plus performant, mais à dose trop grande, il vous paralyse.

II.  Celui qui considère que son examen a un rôle vital et qui pense qu’il n’a aucune chance de le réussir, s’enferme dans un stress puissant. Mais celui qui se préoccupe peu de ses épreuves et de ses révisions, a un niveau de stress trop bas qui ne le rendra pas efficace. Il faut à tout prix se situer entre les deux, trouver un équilibre. Pour cela, il est important de transformer .ses exigences en préférences : «je voudrais réussir» plutôt que «rater (про­ва­лить) l’examen, c’est la catastrophe».

III.  Pour arriver le jour de l’examen au mieux de sa forme, voici quelques conseils utiles. Il est indispensable de ne pas sacrifier (жерт­во­вать) son sommeil, de manger équilibré et de ne pas boire trop de café. Pratiquez une activité physique afin de relâcher (осла­бить) un peu la pression. Enfin, quelques méthodes de relaxation sont toujours bénéfiques (бла­го­при­ят­ные) pour apprendre à se détendre et à mieux respirer. Il est aussi important, dans les jours qui précèdent, d’aérer son cerveau fatigué à l’aide d’un bon film, d’une sortie entre copains ou d’un dîner sympa. Il faut équilibrer le stress et développer des émotions positives par le rire, par exemple.

I.  L’examen symbolise la première grande reconnaissance sociale et académique. Le diplôme marque l’entrée dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage des jeunes à la vie adulte. C’est pourquoi le stress est étroitement lié aux épreuves. C’est non seulement le niveau de connaissances qui va être testé, mais aussi la personnalité du candidat. Cela est surtout vrai lors des épreuves orales, qui font souvent plus peur que les épreuves écrites. Certains perdent la tête (рас­те­рять­ся), d’autres, au contraire, sont électrisés, poussés à l’action par cette notion de «danger». C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il vous rend plus efficace et plus performant, mais à dose trop grande, il vous paralyse.

II.  Celui qui considère que son examen a un rôle vital et qui pense qu’il n’a aucune chance de le réussir, s’enferme dans un stress puissant. Mais celui qui se préoccupe peu de ses épreuves et de ses révisions, a un niveau de stress trop bas qui ne le rendra pas efficace. Il faut à tout prix se situer entre les deux, trouver un équilibre. Pour cela, il est important de transformer .ses exigences en préférences : «je voudrais réussir» plutôt que «rater (про­ва­лить) l’examen, c’est la catastrophe».

III.  Pour arriver le jour de l’examen au mieux de sa forme, voici quelques conseils utiles. Il est indispensable de ne pas sacrifier (жерт­во­вать) son sommeil, de manger équilibré et de ne pas boire trop de café. Pratiquez une activité physique afin de relâcher (осла­бить) un peu la pression. Enfin, quelques méthodes de relaxation sont toujours bénéfiques (бла­го­при­ят­ные) pour apprendre à se détendre et à mieux respirer. Il est aussi important, dans les jours qui précèdent, d’aérer son cerveau fatigué à l’aide d’un bon film, d’une sortie entre copains ou d’un dîner sympa. Il faut équilibrer le stress et développer des émotions positives par le rire, par exemple.

Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

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Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

Pour bien commencer la journée, je me réveille (1) ... six heures et je reste dans mon lit quelques minutes. Puis, je sors (2) ... le balcon. J’aime regarder (3) ... ciel et écouter les oiseaux. Vers sept heures moins le quart, je fais du sport et ensuite, je me douche. Vers sept heures et demie, je prends mon petit-déjeuner et je vais au travail. Le soir, après le dîner, mon mari et moi, (4) ... regardons une série ou (5) ... film intéressant. Tous les soirs, j’écris dans un petit carnet mon moment préféré de la journée. (6) ... n’utilise pas mon téléphone et je me couche. Fais comme moi et (7) ... t’endormiras très vite.

Lausanne est une ville suisse située sur la rive nord du lac Léman. C’est un endroit très (1) ... (chaleur) qu’il est facile de découvrir à pied. Lausanne se distingue (2) ... (réel) par son dynamisme et sa modernité. Cette ville, connue pour ses principes de ville durable, de culture et de formation, est célèbre pour son titre de capitale olympique. Pour rendre votre visite de Lausanne plus facile et agréable, demandez des (3) ... (renseigner) à l’Office du tourisme. On peut voir la vieille ville et les quartiers modernes ou goûter les spécialités de la région comme la fondue et le fromage. Ceux qui sont allergiques au fromage peuvent acheter le merveilleux chocolat de Lausanne.

Lausanne est une ville suisse située sur la rive nord du lac Léman. C’est un endroit très (1) ... (chaleur) qu’il est facile de découvrir à pied. Lausanne se distingue (2) ... (réel) par son dynamisme et sa modernité. Cette ville, connue pour ses principes de ville durable, de culture et de formation, est célèbre pour son titre de capitale olympique. Pour rendre votre visite de Lausanne plus facile et agréable, demandez des (3) ... (renseigner) à l’Office du tourisme. On peut voir la vieille ville et les quartiers modernes ou goûter les spécialités de la région comme la fondue et le fromage. Ceux qui sont allergiques au fromage peuvent acheter le merveilleux chocolat de Lausanne.

Lausanne est une ville suisse située sur la rive nord du lac Léman. C’est un endroit très (1) ... (chaleur) qu’il est facile de découvrir à pied. Lausanne se distingue (2) ... (réel) par son dynamisme et sa modernité. Cette ville, connue pour ses principes de ville durable, de culture et de formation, est célèbre pour son titre de capitale olympique. Pour rendre votre visite de Lausanne plus facile et agréable, demandez des (3) ... (renseigner) à l’Office du tourisme. On peut voir la vieille ville et les quartiers modernes ou goûter les spécialités de la région comme la fondue et le fromage. Ceux qui sont allergiques au fromage peuvent acheter le merveilleux chocolat de Lausanne.

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?

La Journée (1) ... sans téléphone portable est excellente pour tester notre niveau de dépendance à cet objet. S’endormir, manger, sortir, se promener. Si on ne peut faire aucune de ces (2) ... sans son portable, c’est parce qu’on est «accro» ou, autrement dit, passionné !

L’écrivain Phil Marso a créé cette journée spéciale en 2001. A cette époque-là, le portable ne servait qu’à

téléphoner et à envoyer des messages : personne ne l’utilisait pour s’orienter, prendre des (3) ..., écouter de la musique ou encore regarder des vidéos ! Aujourd’hui, les trois quarts des 11–14 ans sont complètement «accros». Beaucoup ne l’éteignent ni le jour ni la nuit pour ne manquer aucun message de leurs copains. Tous les parents rêvent et (4) ... que leurs enfants se déconnectent et coupent leur portable mais plus souvent, ils leur permettent de l’utiliser seulement à des horaires fixes. En plus, les parents s’inquiètent beaucoup et (5) ... le portable de leurs enfants à distance, grâce aux différentes applications. Tout de même, est-ce qu’il y a des personnes, jeunes ou âgées, qui peuvent vivre sans leur smartphone et sont (6) ... à ne pas l’allumer un ou deux jours ?