I. L’examen symbolise la première grande reconnaissance sociale et académique. Le diplôme marque l’entrée dans la vie sociale, universitaire ou professionnelle. Il représente une sorte de passage des jeunes à la vie adulte. C’est pourquoi le stress est étroitement lié aux épreuves. C’est non seulement le niveau de connaissances qui va être testé, mais aussi la personnalité du candidat. Cela est surtout vrai lors des épreuves orales, qui font souvent plus peur que les épreuves écrites. Certains perdent la tête (растеряться), d’autres, au contraire, sont électrisés, poussés à l’action par cette notion de «danger». C’est ainsi qu’agit le stress : à dose raisonnable, il vous rend plus efficace et plus performant, mais à dose trop grande, il vous paralyse.
II. Celui qui considère que son examen a un rôle vital et qui pense qu’il n’a aucune chance de le réussir, s’enferme dans un stress puissant. Mais celui qui se préoccupe peu de ses épreuves et de ses révisions, a un niveau de stress trop bas qui ne le rendra pas efficace. Il faut à tout prix se situer entre les deux, trouver un équilibre. Pour cela, il est important de transformer .ses exigences en préférences : «je voudrais réussir» plutôt que «rater (провалить) l’examen, c’est la catastrophe».
III. Pour arriver le jour de l’examen au mieux de sa forme, voici quelques conseils utiles. Il est indispensable de ne pas sacrifier (жертвовать) son sommeil, de manger équilibré et de ne pas boire trop de café. Pratiquez une activité physique afin de relâcher (ослабить) un peu la pression. Enfin, quelques méthodes de relaxation sont toujours bénéfiques (благоприятные) pour apprendre à se détendre et à mieux respirer. Il est aussi important, dans les jours qui précèdent, d’aérer son cerveau fatigué à l’aide d’un bon film, d’une sortie entre copains ou d’un dîner sympa. Il faut équilibrer le stress et développer des émotions positives par le rire, par exemple.