La maîtresse a frappé avec sa règle (1) ... son bureau : «Silence ! Nous ne faisons pas (2) ... grammaire aujourd'hui, parce qu'il est arrivé un incident très grave : l'agent de police qui s'occupe de notre sécurité est allé se plaindre à Monsieur le Directeur. Il lui a dit que vous traversiez les rues comme une bande (3) ... petits sauvages en courant et en mettant ainsi votre vie en danger. Donc, Monsieur le Directeur m'a demandé de vous faire (4) ... leçon sur le Code de la route».

La maîtresse a frappé avec sa règle (1) ... son bureau : «Silence ! Nous ne faisons pas (2) ... grammaire aujourd'hui, parce qu'il est arrivé un incident très grave : l'agent de police qui s'occupe de notre sécurité est allé se plaindre à Monsieur le Directeur. Il lui a dit que vous traversiez les rues comme une bande (3) ... petits sauvages en courant et en mettant ainsi votre vie en danger. Donc, Monsieur le Directeur m'a demandé de vous faire (4) ... leçon sur le Code de la route».

La maîtresse a frappé avec sa règle (1) ... son bureau : «Silence ! Nous ne faisons pas (2) ... grammaire aujourd'hui, parce qu'il est arrivé un incident très grave : l'agent de police qui s'occupe de notre sécurité est allé se plaindre à Monsieur le Directeur. Il lui a dit que vous traversiez les rues comme une bande (3) ... petits sauvages en courant et en mettant ainsi votre vie en danger. Donc, Monsieur le Directeur m'a demandé de vous faire (4) ... leçon sur le Code de la route».

La maîtresse a frappé avec sa règle (1) ... son bureau : «Silence ! Nous ne faisons pas (2) ... grammaire aujourd'hui, parce qu'il est arrivé un incident très grave : l'agent de police qui s'occupe de notre sécurité est allé se plaindre à Monsieur le Directeur. Il lui a dit que vous traversiez les rues comme une bande (3) ... petits sauvages en courant et en mettant ainsi votre vie en danger. Donc, Monsieur le Directeur m'a demandé de vous faire (4) ... leçon sur le Code de la route».

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

J'ai ouvert une boîte en carton, j'ai inspecté soigneusement ces trésors d'enfance et j'ai eu une étrange impression. Comme si mes mains redevenaient plus petites, comme si le monde (1) ... autour de moi. Soudain la lune est venue éclairer le plancher du grenier. Elle m'a dit : «(2) ... ton ami à changer de vie, tu dois (3) ... emmener avec toi. Souviens-toi, (4) ... de vous deux qui devait étudier la médecine, c'était lui. Il n'est pas trop tard». Je suis resté de longues minutes les yeux ouverts dans le noir. Chaque bruit dans cette maison m'était familier. Le matin, je suis descendu dans la cuisine (5) ... une surprise m'attendait. Nicolas discutait avec ma mère à la table. D'habitude, à cette heure-là, il allait se coucher, mais il ne le voulait pas sans me dire au revoir. Il m'a tendu un panier rempli de croissants et de pains de lait encore tièdes. J'étais étonné de ce fait. On peut dire que je (j') (6) ... étais fort étonné.

On passe souvent près des gens sans regarder leurs visages. On croit qu'on les (1) ... plusieurs fois. Et voilà tout à coup on découvre les plis qui (2) ... aux coins des lèvres, l'argent des cheveux.

Simon Sermet a vieilli. On s'en est aperçu après la mort de son père. Pas seulement à cause de la douleur éprouvée lors de la perte d'un homme très cher. La fatigue du maître d'école (3) ... de loin, de son temps de guerre et de mille tâches quotidiennes. Après une marche un peu longue et rapide, on le voyait s'arrêter et souffler, baissant la tête comme pour cacher sa faiblesse. Le maître d'école (4) ... son front avant de parler et il toussait discrètement : « Ah ! Voyons ! De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que vous ne (5) ... pas» ?

On passe souvent près des gens sans regarder leurs visages. On croit qu'on les (1) ... plusieurs fois. Et voilà tout à coup on découvre les plis qui (2) ... aux coins des lèvres, l'argent des cheveux.

Simon Sermet a vieilli. On s'en est aperçu après la mort de son père. Pas seulement à cause de la douleur éprouvée lors de la perte d'un homme très cher. La fatigue du maître d'école (3) ... de loin, de son temps de guerre et de mille tâches quotidiennes. Après une marche un peu longue et rapide, on le voyait s'arrêter et souffler, baissant la tête comme pour cacher sa faiblesse. Le maître d'école (4) ... son front avant de parler et il toussait discrètement : « Ah ! Voyons ! De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que vous ne (5) ... pas» ?

On passe souvent près des gens sans regarder leurs visages. On croit qu'on les (1) ... plusieurs fois. Et voilà tout à coup on découvre les plis qui (2) ... aux coins des lèvres, l'argent des cheveux.

Simon Sermet a vieilli. On s'en est aperçu après la mort de son père. Pas seulement à cause de la douleur éprouvée lors de la perte d'un homme très cher. La fatigue du maître d'école (3) ... de loin, de son temps de guerre et de mille tâches quotidiennes. Après une marche un peu longue et rapide, on le voyait s'arrêter et souffler, baissant la tête comme pour cacher sa faiblesse. Le maître d'école (4) ... son front avant de parler et il toussait discrètement : « Ah ! Voyons ! De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que vous ne (5) ... pas» ?

On passe souvent près des gens sans regarder leurs visages. On croit qu'on les (1) ... plusieurs fois. Et voilà tout à coup on découvre les plis qui (2) ... aux coins des lèvres, l'argent des cheveux.

Simon Sermet a vieilli. On s'en est aperçu après la mort de son père. Pas seulement à cause de la douleur éprouvée lors de la perte d'un homme très cher. La fatigue du maître d'école (3) ... de loin, de son temps de guerre et de mille tâches quotidiennes. Après une marche un peu longue et rapide, on le voyait s'arrêter et souffler, baissant la tête comme pour cacher sa faiblesse. Le maître d'école (4) ... son front avant de parler et il toussait discrètement : « Ah ! Voyons ! De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que vous ne (5) ... pas» ?

On passe souvent près des gens sans regarder leurs visages. On croit qu'on les (1) ... plusieurs fois. Et voilà tout à coup on découvre les plis qui (2) ... aux coins des lèvres, l'argent des cheveux.

Simon Sermet a vieilli. On s'en est aperçu après la mort de son père. Pas seulement à cause de la douleur éprouvée lors de la perte d'un homme très cher. La fatigue du maître d'école (3) ... de loin, de son temps de guerre et de mille tâches quotidiennes. Après une marche un peu longue et rapide, on le voyait s'arrêter et souffler, baissant la tête comme pour cacher sa faiblesse. Le maître d'école (4) ... son front avant de parler et il toussait discrètement : « Ah ! Voyons ! De quoi s'agit-il ? Qu'est-ce que vous ne (5) ... pas» ?

Un seigneur possédait vingt vases de porcelaine d'une beauté remarquable, il ne (n') (1) ... que pour les admirer. Un jour, une servante a eu le (2) ... de casser par hasard un de ces vases. Le seigneur est entré en fureur et a condamné à mort la pauvre femme. En apprenant cela, un des vassaux du seigneur s'est présenté au palais en déclarant qu'il était possesseur d'une (3) ... merveilleuse pour réparer les objets brisés. On l'a fait entrer en espérant qu'il réussirait à réparer ce grand vase cassé. Il a dit qu'il essayerait de le faire, et a ajouté qu'il lui serait utile de voir d'abord tous les autres vases de la (l') (4) ... On l'a conduit dans la pièce où les précieux objets, adorés aveuglément, reposaient sous une tenture de soie. Le nouveau venu a soulevé la draperie, et, d'une seule poussée, a (5) ... à terre tous les vases qui se sont brisés en mille pièces.

Un seigneur possédait vingt vases de porcelaine d'une beauté remarquable, il ne (n') (1) ... que pour les admirer. Un jour, une servante a eu le (2) ... de casser par hasard un de ces vases. Le seigneur est entré en fureur et a condamné à mort la pauvre femme. En apprenant cela, un des vassaux du seigneur s'est présenté au palais en déclarant qu'il était possesseur d'une (3) ... merveilleuse pour réparer les objets brisés. On l'a fait entrer en espérant qu'il réussirait à réparer ce grand vase cassé. Il a dit qu'il essayerait de le faire, et a ajouté qu'il lui serait utile de voir d'abord tous les autres vases de la (l') (4) ... On l'a conduit dans la pièce où les précieux objets, adorés aveuglément, reposaient sous une tenture de soie. Le nouveau venu a soulevé la draperie, et, d'une seule poussée, a (5) ... à terre tous les vases qui se sont brisés en mille pièces.

Un seigneur possédait vingt vases de porcelaine d'une beauté remarquable, il ne (n') (1) ... que pour les admirer. Un jour, une servante a eu le (2) ... de casser par hasard un de ces vases. Le seigneur est entré en fureur et a condamné à mort la pauvre femme. En apprenant cela, un des vassaux du seigneur s'est présenté au palais en déclarant qu'il était possesseur d'une (3) ... merveilleuse pour réparer les objets brisés. On l'a fait entrer en espérant qu'il réussirait à réparer ce grand vase cassé. Il a dit qu'il essayerait de le faire, et a ajouté qu'il lui serait utile de voir d'abord tous les autres vases de la (l') (4) ... On l'a conduit dans la pièce où les précieux objets, adorés aveuglément, reposaient sous une tenture de soie. Le nouveau venu a soulevé la draperie, et, d'une seule poussée, a (5) ... à terre tous les vases qui se sont brisés en mille pièces.

Un seigneur possédait vingt vases de porcelaine d'une beauté remarquable, il ne (n') (1) ... que pour les admirer. Un jour, une servante a eu le (2) ... de casser par hasard un de ces vases. Le seigneur est entré en fureur et a condamné à mort la pauvre femme. En apprenant cela, un des vassaux du seigneur s'est présenté au palais en déclarant qu'il était possesseur d'une (3) ... merveilleuse pour réparer les objets brisés. On l'a fait entrer en espérant qu'il réussirait à réparer ce grand vase cassé. Il a dit qu'il essayerait de le faire, et a ajouté qu'il lui serait utile de voir d'abord tous les autres vases de la (l') (4) ... On l'a conduit dans la pièce où les précieux objets, adorés aveuglément, reposaient sous une tenture de soie. Le nouveau venu a soulevé la draperie, et, d'une seule poussée, a (5) ... à terre tous les vases qui se sont brisés en mille pièces.

Un seigneur possédait vingt vases de porcelaine d'une beauté remarquable, il ne (n') (1) ... que pour les admirer. Un jour, une servante a eu le (2) ... de casser par hasard un de ces vases. Le seigneur est entré en fureur et a condamné à mort la pauvre femme. En apprenant cela, un des vassaux du seigneur s'est présenté au palais en déclarant qu'il était possesseur d'une (3) ... merveilleuse pour réparer les objets brisés. On l'a fait entrer en espérant qu'il réussirait à réparer ce grand vase cassé. Il a dit qu'il essayerait de le faire, et a ajouté qu'il lui serait utile de voir d'abord tous les autres vases de la (l') (4) ... On l'a conduit dans la pièce où les précieux objets, adorés aveuglément, reposaient sous une tenture de soie. Le nouveau venu a soulevé la draperie, et, d'une seule poussée, a (5) ... à terre tous les vases qui se sont brisés en mille pièces.

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

I. Vous aimez la musique et le chant. Vous avez toujours rêvé de représenter des œuvres du grand répertoire ou tout simplement de chanter des chansons avec des amis. Alors, n'hésitez pas, inscrivez-vous dans une chorale et venez chanter toutes les semaines. Le chant est bon pour le moral comme pour le physique. Depuis toujours, le chant fait partie de la vie de l'homme. Le chant est sans doute la plus ancienne pratique d'activité musicale que l'on retrouve dans les cérémonies religieuses, dans les fêtes nationales ou familiales ou par choix personnel. Chanter est un vrai plaisir et provoque physiquement un bien-être scientifiquement reconnu. Alors pourquoi s'y renoncer ?

II. On n'a jamais souligné tous les bienfaits du chant. Aujourd'hui, il est même prouvé que celui-ci a un effet «antistress». En chantant, on se relaxe, on respire, on oublie ses problèmes. L'humeur est toujours meilleure après une séance de chant, car le chant crée la joie.

III. Mais le chant est également amical, il se partage avec d'autres. Pour bien chanter ensemble, il faut écouter l'un l'autre. Le chant est à la portée de tous. On apprend à chanter dès le plus jeune âge à l'école. Avec un minimum d'éducation, on peut arriver à des résultats satisfaisants. Une jeune étudiante allemande partage avec nous son expérience : « Lorsque je suis arrivée en France, j'ai vu sur les murs de l'université plusieurs affiches invitant les étudiants à se joindre au chœur ou à l'orchestre universitaire. Je me suis inscrite au chœur. J'ai ainsi rencontré d'autres étudiants français et étrangers. Entre choristes, nous avons bien sympathisé. En fin d'année nous avons donné un concert. J'en garde un souvenir inoubliable» !

IV. Le patrimoine français du répertoire d'art vocal est riche, passionnant à découvrir. Tout le monde ne peut pas chanter les chœurs de Carmen, mais peut chanter de vieilles chansons françaises comme Sur le Pont d'Avignon apprises dès la petite enfance et connues par toutes les générations. Il existe en France dans toutes les villes de nombreuses chorales, de nombreux chœurs ouverts à tous les amateurs qui veulent chanter. Même si l'on ne lit pas tout à fait la musique ou si l'on ne sait pas déchiffrer une partition, celui qui chante juste, ou qui désire construire avec d'autres un projet musical intéressant, a toutes les chances d'être accepté dans une chorale. Et si, en plus, on a une belle voix alors là, les portes vous sont grandes ouvertes !

1. Virginie : «Bonjour ! Je suis étudiante. Je fais mes études aux Etats-Unis. Je suis partie de France il y a quatre mois, et il me reste encore quatre mois de cours ici. Je fais mes études dans une assez grande université. Et donc, je suis les cours comme les Américains, en anglais. Je vis dans une résidence universitaire. C'est une grande différence par rapport à mes études à Paris. C'est un mode de vie totalement différent. Il y a plus d'ambiance de campus par rapport aux universités de France. Je partage la chambre avec trois Américaines et la vie en communauté se passe pas mal».

2. Christelle : «Bonjour ! J'ai 16 ans. J'habite à la campagne dans les collines du haut Beaujolais. Ce qui compte pour moi, ce sont les cours de théâtre où je me rends chaque semaine depuis un an. J'aime le théâtre parce que c'est beau, c'est magique. Le théâtre, c'est vivant. C'est vraiment l'être humain qui est mis en valeur. De temps en temps je fais des travaux manuels (animaux en perles, dessins pour coller aux fenêtres ou aux miroirs). Ce que je fais beaucoup à la maison actuellement, ce sont des dessins pour coller aux fenêtres».

3. Ludovic : «Bonjour ! Je viens de Lyon. Je suis étudiant en philologie à l'Université Paris III. Chaque année j'attends avec impatience les vacances. Les vacances, c'est pour se divertir ! Il me faut des actions et des sensations fortes. Je pratique des tas de sports : le VTT (vélo tout-terrain), la planche à voile en été, et en hiver le surf des neiges. J'adore la nature et je ne veux pas rester enfermé ! S'il ne fait pas beau, c'est plus difficile, mais je ne reste pas toute la journée à l'intérieur. Regarder la télé ou lire, ça m'ennuie. Je préfère aller prendre l'air même quand il pleut et quand il fait froid».

1. Virginie : «Bonjour ! Je suis étudiante. Je fais mes études aux Etats-Unis. Je suis partie de France il y a quatre mois, et il me reste encore quatre mois de cours ici. Je fais mes études dans une assez grande université. Et donc, je suis les cours comme les Américains, en anglais. Je vis dans une résidence universitaire. C'est une grande différence par rapport à mes études à Paris. C'est un mode de vie totalement différent. Il y a plus d'ambiance de campus par rapport aux universités de France. Je partage la chambre avec trois Américaines et la vie en communauté se passe pas mal».

2. Christelle : «Bonjour ! J'ai 16 ans. J'habite à la campagne dans les collines du haut Beaujolais. Ce qui compte pour moi, ce sont les cours de théâtre où je me rends chaque semaine depuis un an. J'aime le théâtre parce que c'est beau, c'est magique. Le théâtre, c'est vivant. C'est vraiment l'être humain qui est mis en valeur. De temps en temps je fais des travaux manuels (animaux en perles, dessins pour coller aux fenêtres ou aux miroirs). Ce que je fais beaucoup à la maison actuellement, ce sont des dessins pour coller aux fenêtres».

3. Ludovic : «Bonjour ! Je viens de Lyon. Je suis étudiant en philologie à l'Université Paris III. Chaque année j'attends avec impatience les vacances. Les vacances, c'est pour se divertir ! Il me faut des actions et des sensations fortes. Je pratique des tas de sports : le VTT (vélo tout-terrain), la planche à voile en été, et en hiver le surf des neiges. J'adore la nature et je ne veux pas rester enfermé ! S'il ne fait pas beau, c'est plus difficile, mais je ne reste pas toute la journée à l'intérieur. Regarder la télé ou lire, ça m'ennuie. Je préfère aller prendre l'air même quand il pleut et quand il fait froid».

1. Virginie : «Bonjour ! Je suis étudiante. Je fais mes études aux Etats-Unis. Je suis partie de France il y a quatre mois, et il me reste encore quatre mois de cours ici. Je fais mes études dans une assez grande université. Et donc, je suis les cours comme les Américains, en anglais. Je vis dans une résidence universitaire. C'est une grande différence par rapport à mes études à Paris. C'est un mode de vie totalement différent. Il y a plus d'ambiance de campus par rapport aux universités de France. Je partage la chambre avec trois Américaines et la vie en communauté se passe pas mal».

2. Christelle : «Bonjour ! J'ai 16 ans. J'habite à la campagne dans les collines du haut Beaujolais. Ce qui compte pour moi, ce sont les cours de théâtre où je me rends chaque semaine depuis un an. J'aime le théâtre parce que c'est beau, c'est magique. Le théâtre, c'est vivant. C'est vraiment l'être humain qui est mis en valeur. De temps en temps je fais des travaux manuels (animaux en perles, dessins pour coller aux fenêtres ou aux miroirs). Ce que je fais beaucoup à la maison actuellement, ce sont des dessins pour coller aux fenêtres».

3. Ludovic : «Bonjour ! Je viens de Lyon. Je suis étudiant en philologie à l'Université Paris III. Chaque année j'attends avec impatience les vacances. Les vacances, c'est pour se divertir ! Il me faut des actions et des sensations fortes. Je pratique des tas de sports : le VTT (vélo tout-terrain), la planche à voile en été, et en hiver le surf des neiges. J'adore la nature et je ne veux pas rester enfermé ! S'il ne fait pas beau, c'est plus difficile, mais je ne reste pas toute la journée à l'intérieur. Regarder la télé ou lire, ça m'ennuie. Je préfère aller prendre l'air même quand il pleut et quand il fait froid».

1. Virginie : «Bonjour ! Je suis étudiante. Je fais mes études aux Etats-Unis. Je suis partie de France il y a quatre mois, et il me reste encore quatre mois de cours ici. Je fais mes études dans une assez grande université. Et donc, je suis les cours comme les Américains, en anglais. Je vis dans une résidence universitaire. C'est une grande différence par rapport à mes études à Paris. C'est un mode de vie totalement différent. Il y a plus d'ambiance de campus par rapport aux universités de France. Je partage la chambre avec trois Américaines et la vie en communauté se passe pas mal».

2. Christelle : «Bonjour ! J'ai 16 ans. J'habite à la campagne dans les collines du haut Beaujolais. Ce qui compte pour moi, ce sont les cours de théâtre où je me rends chaque semaine depuis un an. J'aime le théâtre parce que c'est beau, c'est magique. Le théâtre, c'est vivant. C'est vraiment l'être humain qui est mis en valeur. De temps en temps je fais des travaux manuels (animaux en perles, dessins pour coller aux fenêtres ou aux miroirs). Ce que je fais beaucoup à la maison actuellement, ce sont des dessins pour coller aux fenêtres».

3. Ludovic : «Bonjour ! Je viens de Lyon. Je suis étudiant en philologie à l'Université Paris III. Chaque année j'attends avec impatience les vacances. Les vacances, c'est pour se divertir ! Il me faut des actions et des sensations fortes. Je pratique des tas de sports : le VTT (vélo tout-terrain), la planche à voile en été, et en hiver le surf des neiges. J'adore la nature et je ne veux pas rester enfermé ! S'il ne fait pas beau, c'est plus difficile, mais je ne reste pas toute la journée à l'intérieur. Regarder la télé ou lire, ça m'ennuie. Je préfère aller prendre l'air même quand il pleut et quand il fait froid».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».

L’histoire du sac remonte à l'antiquité grecque. À cette époque les esclaves (1) ... de sac en peau de chèvre pour transporter les affaires de leurs maîtres. Le sac était le symbole d'un manque de liberté. Aujourd'hui, c'est tout à fait le (2) ... . Le sac évoque le voyage, les (3) ..., le mouvement. Ne dit-on pas que le sac raconte tout sur son propriétaire ? En son sein tout se mêle : argent, photographies (4) ..., papiers d'identité, tickets de transport, téléphone portable. Tout son contenu résume notre existence et accompagne chacun de nos (5) ... de vie.

Il ne faut pas s'étonner si cet objet (6) ... de se réinventer sans cesse au fil des pays, des siècles et des usages. Au Moyen Age, par exemple, le sac des pèlerins (па­лом­ни­ков) devient aussi le sac des bergers pour transporter le pain lors de leurs journées passées à surveiller les (7) ... . A la chasse le sac est destiné à recueillir le (8) ... ou petit gibier.

Aujourd'hui, le sac est un accessoire d'élégance. Les hommes aiment ironiser sur le goût des femmes qui les (9) ... à avoir plusieurs sacs. Si l'on croit Goethe, le sac pourra être le signe du bonheur : «Veux-tu (10) ... heureux ? Voyage avec deux sacs, l'un pour donner, l'autre pour recevoir».