Un jour, une dame de quarante-cinq ans et son fils sont venus chez le commissaire. Madame Durand a commencé à raconter : «Voilà plusieurs fois que lorsque je rentre chez moi, je constate que quelqu'un y est venu en mon (1) ... J'ai d'abord pensé que c'était mon fils, mais c'était pendant ses heures de travail ». Le commissaire a regardé attentivement le jeune homme qui (2) ... mécontent : dix-sept ans, maigre et long, timide. Quand le garçon croyait qu'on ne le regardait pas, il (3) ... au commissaire un coup d'œil très vif. Il n'était pas d'accord avec sa mère sur l'utilité de cette visite. « Comment avez-vous la certitude qu'on est entré chez vous» ? a demandé le commissaire. « D'abord cela se sent tout de suite. Par exemple, la porte de l' (4) ... que je ne ferme jamais à clef, je la retrouve fermée. Il n'y a là rien de (d') (5) ... : nos vêtements, notre linge, quelques souvenirs de famille, mais rien n'a disparu».